Mais les soldats s’écrièrent : Non, tu ne dois pas venir avec nous ! Car si nous étions mis en fuite, on ne ferait pas attention à nous, et si même la moitié d’entre nous succombait, on n’y attacherait pas d’importance, mais toi, tu comptes autant que dix mille d’entre nous ; d’autre part, il est préférable que tu puisses à tout moment venir à notre aide depuis la ville.

Le roi leur dit : Je ferai ce que vous jugerez bon.

Il se plaça donc près de la porte de la ville et toute l’armée sortit par « centaines » et par « milliers[a] ». Le roi donna cet ordre à Joab, à Abishaï et à Ittaï : Par égard pour moi, ménagez le jeune Absalom !

Toute la troupe l’entendit donner cet ordre à tous les chefs de l’armée au sujet d’Absalom.

Read full chapter

Footnotes

  1. 18.4 Ces « centaines » et ces « milliers » étaient peut-être des corps d’armée comprenant respectivement quelques dizaines et quelques centaines d’hommes.